Outil d’aide diagnostique en dermatologie

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Poxvirus: Molluscum contagiosums

Poxvirus: Molluscum contagiosum Infection cutanée virale bénigne de la peau Très contagieuse Germes incriminés : Virus à ADN du groupe des poxvirus : 1 et 2 Terrain : Les enfants de 1 à 10 ans.  Adultes sexuellement actifs Patients immunodéprimés (VIH) Transmission par : Transmission directe  Contact direct avec la peau infectée  (rapport sexuels par ex) Contact direct avec des vecteurs passifs contaminés (sous-vêtements, serviettes, linge de toilette, rasoirs, électrolyse, matériel de tatouage, etc.) Autocontamination Transmission verticale mère-enfant  In utero ou par contact avec la filière vaginale infectée Facteurs favorisants : Déficit immunitaire congénital ou acquis Terrain Atopique Diagnostic clinique : Lésion élémentaire : Papules hémisphériques (1 à 5 mm) de diamètre ou Nodules (6-10 mm ) de diamètre. Aspect perlé et brillant à surface translucide ou rosée Ombilication centrale Uniques ou multiples (< 30 habituellement)  Topographie :  (peau +++) . de façon classique : face, membres, région ano-génitale  . chez l’enfant : lésions diffuses affectant la face, le tronc, les membres et les organes génitaux  . chez les adultes jeunes : lésions génitales ++, lésions buccales et péribuccales (patients immunodéprimés ++) Diagnostic différentiel : Verrues Granulome pyogénique Granulome annulaire papuleux Kyste d’inclusion épidermique Tumeurs des annexes Carcinome basocellulaire Mélanome amélanique Evolution : Évaluer la gravité des lésions : Prurit important ? Dermatite associée ? Lésions douloureuses ? Gêne esthétique ? Risque d’impétigo? Risque de dissémination important ? Si oui. : Traitement PHYSIQUE Curetage++ : technique de choix. Il s’agit du raclage des lésions avec une curette Cryothérapie par azote liquide. Electrocoagulation Laser CO2 Guérison spontanée Si non : Abstention thérapeutique Les conseils Informer et rassurer les parents de l’aspect bénin de la maladie et de son évolution le plus souvent favorable sans traitement. Ne pas toucher ou gratter les lésions. Risque d’auto-inoculation ou de transmission du virus. Couvrir les lésions à l’aide d’un vêtement ou d’un pansement. Ne pas échanger d’affaires personnelles (drap de bain, vêtement…) Eviter les contacts rapprochés (bains, piscine, sport de contact…) Demander aux parents de rechercher d’autres lésions sur d’autres zones du corps ou chez les frères et sœurs. Ne pas appliquer de dermocorticoïdes (risque de favoriser la dissémination). Autres Dermatoses Virales Papillomes viraux HSV1 – HSV2 Varicelle-Zona Acrodermatite papuleuse infantile (syndrome de Gianotti-Crosti) Le syndrome de Coxsackie orf Pytiriasis rosé de gilbert

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Le syndrome de Coxsackie ou Maladie «Pieds-Mains-Bouche »

Le syndrome de Coxsackie ou Maladie «Pieds-Mains-Bouche » Définition : éruption vésiculeuse touchant le plus souvent l’ensemble pieds-mains-bouche. Maladie très contagieuse Germe impliqué : Coxsackie virus A16 : famille des Entérovirus Terrain : Nourrissons et enfants <10 ans , possible chez l’adulte Transmission : Par contact direct avec les sécrétions oropharyngées et nasales (transmission aérienne par éternuement, toux…) Les selles (transmission manuportée) Les lésions elles mêmes. Ou contact indirect via des surfaces ou des objets contaminés Facteurs favorisants : Déficit immunitaire Terrain Atopique Diagnostic clinique : Début : fièvre inférieure à 39°C +/- céphalée, douleurs abdominales, diarrhées, perte d’appétit… 2 à 5 jours plus tard : Petites macules rouges de formes ovalaires – vésicules remplies d’un liquide clair qui se trouble Disposées horizontalement entourées d’un liseré́ érythémateux Topographie : paume des mains, doigts, plante des pieds, et bouche (intérieur des joues, lèvres et langue) Absence de prurit Les lésions buccales douloureuses difficultés pour boire et pour s’alimenter. Paraclinique : le diagnostic peut être confirmé par culture cellulaire du virus ou PCR à partir de prélèvements de vésicules, de sécrétions oropharyngées, de selles et parfois de sang ou de liquide céphalo-rachidien Diagnostic différentiel : Varicelle Aphte Maladie de kawasaki Impétigo ++ Stomatite herpétique, Dyshidrose palmo-plantaire Syphilis secondaire chez l’adulte Evolution : Évoluant vers la guérison en 1 ou 2 semaines. Complications, neurologiques et cardio-pulmonaires sont possibles Traitement : Traitement symptomatique : Antalgique/Antipyrétique : paracétamol ; Antiseptique pour lésions cutanées : Chlorhexidine ; Produits contre les aphtes si lésions buccales douloureuses ; Mesures de réhydratation (solution de réhydratation orale si diarrhées associées) Conseils : Règles d’hygiènes (lavage des mains, couvrir la bouche si toux ou éternuement, laver les objets ou les surfaces souillées….) ; Pas d’aspirine, ni d’AINS ; Ne pas toucher, percer ou gratter les lésions ; Eviction scolaire non obligatoire ; Prévenir les collectivités ; Si lésions buccales douloureuses : éviter plats trop chauds et trop épicés ; Eviter boissons acides; Privilégier aliments liquides frais ; Paracétamol 30 min avant repas (dose poids). Autres Dermatoses Virales Papillomes viraux HSV1 – HSV2 Varicelle-Zona Acrodermatite papuleuse infantile (syndrome de Gianotti-Crosti) Poxvirus: Molluscum contagiosums orf Pytiriasis rosé de gilbert

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Acrodermatite papuleuse infantile

Acrodermatite papuleuse infantile (syndrome de Gianotti-Crosti) Dermatose virale bégnine la lésion élémentaire est une papule plane, érythémateuse et papulovésiculeuse Évolue par  épidémies hivernales et printanières ou de façon sporadique. Germe impliqué : Le virus B des hépatites, virus de la famille des Herpes viridae  D’autres virus ont été suspectés : cytomégalovirus, HHV6, virus d’Epstein-Barr Terrain : Les enfants de 1 à 6 ans.  Diagnostic clinique : Apparition brutale de l’éruption sans prodromes . Papules érythémateuses, monomorphes, bilatérales et symétriques Couleur chair ou rosée Topographie : la face d’extension des membres, des fesses, de la face et du cou avec respect habituel du tronc est très caractéristique. Les signes d’accompagnement qui sont inconstants : hépatosplénomégalie, fièvre, arthralgies,adénopathies, lymphocytose. Diagnostic différentiel : Prurigo strophulus Pityriasis lichénoïde Purpura rhumatoïde Érythème polymorphe, Lichen Xanthomes éruptifs, Syphilis secondaire et granulome annulaire disséminé chez l’adulte. Evolution : Persistance des lésions plusieurs semaines Disparition sous traitement sans desquamation Traitement et Prévention Il n’y a pas de traitement spécifique, ni local, ni général. Aucun isolement n’est recommandé. Autres Dermatoses Virales Papillomes viraux HSV1 – HSV2 Varicelle-Zona Le syndrome de Coxsackie Poxvirus: Molluscum contagiosums orf Pytiriasis rosé de gilbert

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Tuberculose

Tuberculose Dermatose infectieuse endémo-épidémique  Grand polymorphisme clinique avec inflammation granulomateuse cutannée Maroc : Pays à forte endémicité tuberculeuse Germes incriminés : L’agent responsable de la tuberculosea cutanée est Mycobacterium tuberculosis , encore appelé bacille de Koch (BK). Facteurs de risque : Âge avancé Dénutrition  Conditions socio-économiques défavorables (pauvreté, précarité, milieu carcéral) Émigration (provenance d’une zone de forte endémie) Immunodépression acquise Notion de contage Terrain : Adulte jeune Transmission : La transmission est interhumaine par voie aérienne à partir d’une personne excréteur de BK Diagnostic clinique : Gommes , scrofulodermes +++ Formes cliniques : SCROFULODERMES GOMMES Inoculation Contigüité d’un foyer tuberculeux : ostéoarticulaire, osseux, épididymaire -Dissémination hématogène à partir d’un foyer pulmonaire ou viscéral Image Lésion Nodules fermes sous-cutanés non inflammatoires Ramollissement—abcès fluctuants indolores Fistulisation—ulcération déprimée violacée Cicatrisation—lésion atrophique et pigmentée Nodosités dermo-hypodermiques Bien limitées, non inflammatoires Non douloureuses S’ulcèrent Localisation – tronc,cou et pied -MI, tronc Signes généraux – AEG IDR , BAAR + – Histologie -Granulome tuberculoïde fait d’un amas de cellules épithélioides et de cellules géantes de Langhans entourées de cellules mononuclées. -Nécrose caséeuse centrale -Granulome tuberculoïde profond avec nécrose caséeuse centrale Diagnostic différentiel Actinomycose Mycose profonde Lésions hidradénite suppurée Ulcérations d’origine tumorale : Lymphome, leucémides Syphilis tertiaire Mycoses profondes : chromomycoses, sporotrichoses ou actinomycose Hidradénite suppurée CHANCRE TUBERCULEUX LUPUS VULGAIRE TUBERCULOSE VERRUQEUSE TUBERCULOSE PÉRI ORIFICIELLE Inoculation Cutanée Réactivation cutanée d’une TBK latente Réinfection exogène Auto-inoculation Incubation 1-3 s Lésion – Ulcération indolore – Nodule érythémateux violine ferme Chancre tuberculeux avec adénopathie satellite -Unique++ -Lupome, lésion molle de petite taille -Brun jaunâtre à la vitropression (lupoïde) -Papule cornée Indolore -Surface : verruqueuse, kératosique -Entourée d’une aréole inflammatoire -brun jaunâtre à la vitropression(lupoide) -Lésions ulcérées à bords irréguliers -Fond purulent -Douloureuses Localisation -MI, face, muqueuse orogénitale – Visage : nez et joues – Tronc -Extrémités : Dos des mains, MI et aux fesses -Bouche et langue Signes généraux -Lymphangite -Polyadénopathies satellites Aucun Lymphangite Adp – Adp locorégionales inflammatoires Évolution -Guérit spontanément -Peut se compliquer : d’un lupus tuberculeux, érythème noueux – Lentement évolutive – Affaissement central avec croûte, périphérie érythématoviolacée – Risque de survenue de carcinome épidermoïde et spinocellulaire Lente avec extension progressive : Atrophie centrale Ne cicatrise pas IDR – + +++ – Histologie Infiltrat polymorphe non spécifique – Hyperkératose Acanthose Papillomateuse Diagnostic différentiel Furoncle Ecthyma Leishmaniose croûteuse au stade initial Ulcération non spécifique : infections à pyogènes, leishmaniose, mycobactériose atypique Sarcoidose Leishmaniose lupoïde Lèpre Mycose profonde Syphilis tertiaire Carcinome cutané Verrues vulgaires Mycobactéries atypiques Mycose Leishmaniose Pyodermite verruqueuse Chancre mou Chancre syphylitique Carcinome épidermoide MILIAIRE CUTANÉE TUBERCULIDES PAPULONÉCROTIQUES ERYTHÈME INDURÉ DE BAZIN Inoculation Hématogène (pulmonaire+++) Lésion – Petites papules diffuses érythématoviolines, pustuleuses, purpuronécrotiques ou lichénoides -Papules érythémateuses, dures, infiltrées -Papulopustules -Recouvertes de croûtes—cicatrice déprimée -Nodules inflammatoires fermes mal limités, indurés -Douloureux Localisation Diffuse – Siège extension : des membres, aux faces dorsales des doigts et des orteils, aux fesses, aux régions lombaires MI : face postèrieur des jambes Signes généraux -État général altéré -Fièvre -Asthénie -Fièvre Évolution – Fatale – Pronostic vital Par poussées -Ulcération ou -Guérison possible avec hyperpigmentation IDR – + + Diagnostic différentiel -Acné nécrotique -Parapsoriasis -Lupus miliaire -Syphilides nécrotiques -Érythème noueux – sarcoidose -Wegener -Déficit en alpha-1 antitrypsine Traitement : -identique à celui de la tuberculose pulmonaire -fait appel à l’association de trois ou quatre antituberculeux. -Il comporte une période initiale de deux mois (phase d’induction) -deuxième période (phase d’entretien) où deux antibacillaires sont prescrits pendant quatre mois ou plus. Surveillance : -Evaluer l’évolution clinique des lésions cutanées et déceler les effets indésirables. -Un bilan hépatique et rénal, une numération formule sanguine et dosage régulier de l’uricémie sont de rigueur. Dépistage et prévention : -La prévention primaire de la tuberculose cutanée fait appel à la vaccination par le BCG  -La prophylaxie secondaire implique le traitement du cas par un protocole bien conduit et complet  Autres Dermatoses Bactériennes Panaris Impétigo Ecthyma (streptococcique – Gangrenosum) Erythrasma Abcès Cutanée Anite Streptococcique Furoncles Folliculites Erysipèle Dermohypodermite bactérienne nécrosante Ricketssiose Borréliose

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Ricketssiose

Ricketssiose  Fièvre boutonneuse méditerranéenne Infection bactérienne, Zoonose Polymorphes Éruption cutannée érythémateuse maculopapuleuse et ecarre d’inoculation (tâche noire) Germes incriminés : Due aux bactéries intracellulaires de la familleRickettsia conorii Facteurs de risque : Immunodéprimés, sujets âgés, diabète, hépatopathie, déficit en glucose-6-phosphatase-déshydrogénase, retard de traitement ou antibiothérapie non adaptée Transmission : Transmise par une piqûre de la tique brune du chien,Rhipicephalus sanguineus . La transmission se fait par les sécrétions salivaires de la tique. La transmission à l’homme se fait par voie cutanée ou conjonctivale, par l’intermédiaire d’arthropodes infectés qui constituent le vecteur.   Diagnostic clinique : Incubation : après piqûre de tique est en moyenne de 7 jours.  La présentation clinique typique associe une tache noire correspondant à la piqure de la tique, une éruption cutanée maculeuse disséminée . Tâche noire :circonscrite entourée d’un halo érythémateux , crouteuse Non douloureuse, rarement pétéchiale, vésiculeuse ou purpurique Exanthème carcatéristique diffus (2 à 4 jours après la fièvre) : Rash Maculo papuleux avec atteinte Palmo Plantaire Signes associés : syndrome fébrile (après 1 semaine d’incubation) fièvre ,  céphalées , myalgies, artgralgies , adénopathies cervicales Topographie : Recherche dans les zones mal visibles comme :  Rash : Paumes et plantes des pieds tronc Le cuir chevelu, Tâche noire : Les aisselles, Le pli de l’aine Le scrotum Région rétro-auriculaire Examens Paracliniques : Sérologie: positive à distance du début des symptômes . Le taux de positivité est de 50 % à J7, 70 % à J10, 100 % à J15. En cas de négativité : répéter la sérologie 3 semaines plus tard. PCR Rickettsia : sur biopsie cutanée ou sur écouvillon de l’escarre d’inoculation. L’analyse en Western-blotserait plus précoce et plus spécifique. Dianostic différentiel : Borréliose de Lyme Syphilis secondaire Éruption médicamenteuse Évolution : Topographie : extension centrifuge Favorable Guérit spontanément en 10 a 20 jours   Signes de gravités : Eruption purpurique Atteinte polyviscérale Manifestations neurologiques (syndrome confusionnel, comitialité, signes méningés, atteinte du nerf acoustique, du nerf optique) Cardiaques (myocardite) Digestives (hépatite, ulcérations muqueuses) Hématologiques (thrombocytopénie) Rénales. La forme maligne comporte une atteinte poly- viscérale avec coma, détresse respiratoire et insuffisance rénale.   Traitement : Chez l’adulte ; la doxycycline: 200 mg/j 4 mg/kg/j chez l’enfant, pour une durée de 7 jours. Chez l’enfant de moins de 8 ans et la femme enceinte, les macrolides (azithromycine 10 mg/kg/j pendant 3 jours) sont recommandés. Prévention : voir celle de la borréliose Autres Dermatoses Bactériennes Panaris Impétigo Ecthyma (streptococcique – Gangrenosum) Erythrasma Abcès Cutanée Anite Streptococcique Furoncles Folliculites Erysipèle Dermohypodermite bactérienne nécrosante Borréliose Tuberculose

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Abcès cutané

Abcès Cutanée Ils sont causés par une infection bactérienne qui entraîne l’afflux de globules blancs (polynucléaires) et de cellules inflammatoires, suivis de leur destruction. Collection purulente localisée dans le derme et/ou l’hypoderme Peut s’étendre aux structures musculo-squelettiques sous jacentes Lésion élémentaire : Plaque ou nodule érythémateux inflammatoire et très douloureux évoluant vers la collection On distingue : -Les abcès cutanés primaires : sur peau saine, le plus souvent dus au Staphylocoqque aureus -Les abcès cutanés secondaires : sur peau pathologique(furoncle, surinfection de piqûre d’insectes, kyste épidermique, maladie de Verneuil, etc.). Germes incriminés : Staphylococcus aureus +++ Plurimicrobiens Facteurs favorisants : Pullulation bactérienne Antécédent de traumatisme (en particulier lorsqu’un corps étranger est présent) Immunosuppression +++ Diagnostic : Aspect Clinique : Nodule inflammatoire, douloureux, souvent bien délimité , de consistance liquidienne fluctuante (pus) à la palpation. Taille variable. Siégeant inconstamment au sein d’un placard inflammatoire Douloureux, souvent bien délimité Signes associés : -État général conservé -Apyrexie -Lymphangite et/ou ADP satellites Topographie : Débutant au niveau d’un follicule pilo-sébacé. apparaît sur n’importe quelle partie de la peau surtout au niveau de la région fessière ,péri anale, inguinale, axillaire  et des extrémité Examens complémentaires: Prélèvement bactériologique systématique (identification bactérie/recherche toxines/antibiogramme) : Abcès primaire ou spontané ± récidive ± petites épidémies familiales : recherche leucocidine de Panton-Valentine (S. aureus); Abcès secondaires surviennent en peau pathologique (furoncle, surinfection de piqûre d’insectes, kyste épidermique, maladie de Verneuil, etc.)  (par inoculation accidentelle, toxicomanie, injections septiques…) : S. aureus ++. Une échographie des parties molles, éventuellement complétée d’une ponction exploratrice (en cas de caractère liquidien de la lésion à l’échographie. Diagnostic différentiel : Hidradénite suppurée : Affection inflammatoire chronique du derme avoisinant les follicules pileux et les glandes sudorales apocrines. Nodules inflammatoires, douloureux, entraînant parfois   des   cicatrices   mutilantes, Kyste épidermique rompu Nodule cutané inflammatoire ou tumoral Un hématome cutané. Anthrax et furoncles Arbre décisionnel Autres infections superficielle non folliculaire Panaris Impétigo Ecthyma (streptococcique – Gangrenosum) Erythrasma Anite Streptococcique

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Anite Streptococcique

Anite Streptococcique Erythème péri-anal douloureux   Germes incriminés : Streptocoque béta-hémolytique du groupe A (SGA) Terrain : Garçon de 5 ans Diagnostic : clinique Érythème péri-anal rouge vif, douloureux, à limites nettes Éventuellement des fissures péri-anales Vulvite chez la fille  Autres signes inconstant : Fièvre Constipation chronique   Paraclinique Prélèvement bactério par écouvillonage : identification du germe et antibiogramme Diagnostic différentiel : Autres causes d’anite – Oxyurose  : prurit au premier plan– Anite à staphylocoque ou E. coli  Autre causes d’érythème fessier du nourrisson Évolution : Evolution sous traitement : Evolution favorable sous 48h de traitement antibiotique  Traitement Traitement antibiotique :  Amoxicilline 40-50mg/kg/j pendant 6-10j Amoxicilline  + acide Clavulanique prolongé sur 2-3 semaine  Autres mesures  : PEC d’une constipationSoins d’hygiène classique  Autres infections superficielle non folliculaire Panaris Impétigo Ecthyma (streptococcique – Gangrenosum) Erythrasma Abcès Cutanée

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Anthrax

Anthrax Infection profonde et confluente de plusieurs follicules pilo-sébacés adjacents. Agglomérat de furoncles. Lésion élémentaire : Placard inflammatoire parsemé de pustules folliculaires. Germe(s) impliqué(s) : Staphylococcus aureus Terrain : Adulte si furoncle manipulé Diagnostic clinique +++ Placard violacé surélevé, induré, douloureux, parsemé de pustules Centrées par des poils Signes associés : Fièvre, douleur, ADP Topographie : nuque++, partie supérieure du dos , cou Evolution : Perte de substance importante avec cicatrice inesthétique. AUCUN EXAMEN COMPLÉMENTAIRE Traitement : Rechercher des facteurs favorisants. Rechercher l’origine de contamination. Respect des règles d’hygiène. Éviction de la manipulation des lésions. Désinfection par un antiseptique local. Antibiothérapie anti staphylococcique par voie générale. Incision et drainage chirurgical Les antibiotiques systémiques sont recommandés dans les cas suivants: Lésions > 5 mm ou < 5 mm qui ne se résolvent pas avec le drainage Lésions multiples Preuve de cellulite en expansion Immunodépression Patients à risque d’ endocardite Fièvre Autres infections folliculaire Furoncles Folliculites

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Parasitoses

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